Le
Premier ministre français Jean-Marc Ayrault visite une usine Dongfeng à
Wuhan, en Chine, le 7 décembre 2013. L'Etat, comme Dongfeng, pourrait
monter au capital de PSA.
REUTERS/China Daily
Le constructeur automobile français PSA Peugeot Citroën a
confirmé ce jeudi 12 décembre que les négociations avec Dongfeng ont
débuté. Le Chinois entrerait dans le capital du Français. Son partenaire
américain, General Motors, avait donné son aval, et a annoncé jeudi la
mise en vente de ses parts dans l'entreprise.
Les discussions en sont au stade préliminaire et
aucune assurance ne peut être donnée quant à leur aboutissement, a
précisé ce jeudi 12 décembre le Français PSA Peugeot Citroën. L'Etat
français pourrait également participer à une augmentation de capital du
groupe à hauteur de 3,5 milliards d'euros selon une source proche du
dossier, précise l'AFP. La famille Peugeot détient près de 26%. Quant à
General Motors, il a décidé de se débarrasser des 7% de parts qu'il
détenait dans PSA.
Les deux actionnaires français et américains - partenaires depuis février 2012 - ont en avaient modifié les termes de leur contrat pour permettre l'arrivée d'un tiers, en l'occurrence du Chinois Dongfeng dans le capital de PSA.
Cette augmentation de capital apparaît plus que jamais nécessaire. Le constructeur français souffre de la crise du marché automobile en Europe, des variations de change, et a annoncé hier une dépréciation de ses comptes de plus d'un milliard d'euros pour 2013.
PSA Peugeot Citroën a également dû revoir à la baisse les ambitions nées de son alliance avec General Motors. Si c'est bien le Français qui construira dans son usine historique de Sochaux la remplaçante de l'Opel Zafira, le projet d'une plate-forme commune PSA / General Motors de construction de petites voitures a, lui, été abandonné. Le projet devait rapporter quelque deux milliards de dollars.
Les deux actionnaires français et américains - partenaires depuis février 2012 - ont en avaient modifié les termes de leur contrat pour permettre l'arrivée d'un tiers, en l'occurrence du Chinois Dongfeng dans le capital de PSA.
Cette augmentation de capital apparaît plus que jamais nécessaire. Le constructeur français souffre de la crise du marché automobile en Europe, des variations de change, et a annoncé hier une dépréciation de ses comptes de plus d'un milliard d'euros pour 2013.
PSA Peugeot Citroën a également dû revoir à la baisse les ambitions nées de son alliance avec General Motors. Si c'est bien le Français qui construira dans son usine historique de Sochaux la remplaçante de l'Opel Zafira, le projet d'une plate-forme commune PSA / General Motors de construction de petites voitures a, lui, été abandonné. Le projet devait rapporter quelque deux milliards de dollars.
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