2014年8月20日星期三
Cognac: baisse de 6,7% des ventes en 2013/2014, notamment en Chine
Les ventes de cognac sur un an ont baissé de 6,7% en volume et de 10,2% en valeur pour la campagne 2013/2014 (1er août/31 juillet), essentiellement en raison de la baisse des exportations vers la Chine, a annoncé mardi le Bureau national interprofessionnel du cognac (Bnic).
"Les expéditions atteignent pour cette nouvelle campagne 155,5 millions de bouteilles soit 435.358 hectolitres d'alcool pur, avec un chiffre d'affaires toujours élevé de 2,2 milliards d'euros (3ème année historique)", indique l'Interprofession dans un communiqué.
Cette baisse des ventes de l'eau-de-vie charentaise, historiquement positionnée sur le marché international, fait suite à "trois campagnes record", relativise toutefois le Bnic.
Selon l'organisation professionnelle, les ventes conservent une "belle dynamique" dans la zone Alena (Etats-Unis, Canada et Mexique, Accord de libre-échange nord-américain) avec une croissance de 6% en volume (3% en valeur), "largement portée par les bons résultats des Etats-Unis". Ce dernier pays confirme sa position de première destination du cognac en volume, avec 54,1 millions de bouteilles expédiées.
En revanche, les ventes en Extrême-Orient (Asie du Sud-Est, Chine, Japon) poursuivent leur repli, avec une chute de 20,9% en volume et de 19,1% en valeur. Un net recul "lié au marché chinois" et qui "touche l'ensemble des produits à forte valeur ajoutée", précise le Bnic. Fin 2012, la Chine a lancé une campagne anti-corruption qui a affecté spécialement les ventes de vins et alcools haut de gamme.
Les expéditions vers l'Asie restent toutefois importantes, avec 49,2 millions de bouteilles et un chiffre d'affaires proche du milliard d?euros.
Les ventes sont également en baisse en Europe, avec un fléchissement de 4,7% en volume (-11,7% en valeur), soit 41 millions de bouteilles vendues. "Si les marchés d'Europe de l'Ouest sont directement impactés par le déficit de croissance économique enregistré depuis maintenant plusieurs années sur l'ensemble de la zone, en revanche, l'Europe de l'Est enregistre toujours de bons résultats avec +4,4% en volume", indique le Bnic.
Dans le reste du monde, les exportations ont augmenté de 9,3%, avec notamment un bond de 16,9% en volume (+20,1% en valeur) en Afrique subsaharienne.
Plus généralement, le Bnic, qui note une progression des ventes de la qualité VS (Very Special) au détriment de la VSOP (Very Superior Old Pale) et des cognacs anciens, se félicite du "maintien d'une bonne répartition entre les principales zones de marchés": Alena (36,4 %), Extrême-Orient (31,6 %) et Europe (26,4 %).
2014年8月17日星期日
Classement de Shanghai : la Chine, l'anti-modèle français ?
COMPET' - Alors que la France stagne dans le célèbre palmarès, les universités chinoises font tout pour grappiller des places.
La France continue de stagner dans le fameux classement de Shanghai, qui évalue les meilleures universités du monde. Les campus américains se taillent une nouvelle fois la part du lion : Harvard, Stanford et le MIT se partagent le trio de tête. On retrouve également quelques universités britanniques (Cambridge, Oxford) dans le Top 10. La France, elle, arrive sixième, avec 21 universités distinguées parmi les 500 meilleures mondiales, dont 8 parmi les 200. Loin derrière la Chine, deuxième, qui en compte déjà 44, dont 9 parmi les 200. Et pour cause : l'Empire du milieu fait tout pour.
Une "ascension fulgurante". La Chine n'en finit plus de grappiller des places : elle n'avait que 16 universités dans les 500 meilleures en 2004, et seulement une dans les 200 mieux classées. "La Chine est clairement en train de devenir une grande puissance de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle réalise une ascension fulgurante", estime ainsi Elsa Conesa, éditorialiste économique d'Europe 1. Selon Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat à l’Enseignement supérieur, invitée vendredi matin d'Europe 1, la Chine devrait même dépasser les universités américaines d'ici 10 ans. Mais pourquoi progresse-t-elle autant dans ce classement, la où la France patine ?
Parce que le Chine s'y intéresse… Le
classement de Shanghaï privilégie des critères de recherche et de
publication d'articles scientifiques. Comme le soulignent bon nombre
d'observateurs, ce classement, aussi attendu qu'il est décrié, ne prend
pas assez en compte la qualité de l'enseignement dispensé, l'insertion
professionnelle des élèves ou encore l'accueil d'étudiants étrangers. Et
cela favorise donc les pays anglo-saxons et la Chine, qui publient
beaucoup. "La Chine a augmenté ses publications scientifiques de 230% en
10 ans. Les universités chinoises vont bientôt publier autant de
travaux que les Etats-Unis", décrypte Elsa Conesa.
Le classement de Shanghai
"La
France, contrairement à la Chine, ne cherche pas du tout à se conformer
au classement de Shanghai", poursuit l'éditorialiste. "Le système
chinois favorise ce type de critères. Si on lui dit de courir avec tel
et tel critère, il est prêt à le faire", décrypte encore aux Echos François Godement, directeur du programme Chine et Asie du Conseil européen pour les relations internationales (ECFR).
… Et pas la France. "Ce sont des critères qui concernent les universités de recherche très sélectives. Or, les nôtres ne sont pas sélectives. Du coup, lorsqu’on divise le nombre de médaille Fields ou de prix Nobel par le nombre d’étudiants et d’enseignants-chercheurs, on est fortement désavantagés", a également argumenté Geneviève Fioraso vendredi. "La Chine, c'est 1,5 milliard d'habitants, dont 400 millions de membres de la classe moyenne. Numériquement, ça ne sert à rien de se battre", poursuit la secrétaire d'Etat. En revanche, cela ne veut pas dire que la France est larguée en matière de recherche.
Fioraso : "La France est bien placée dans l...
Le classement de Shanghai classe les universités. Or, le système français de recherche est scindé entre les universités les organismes de recherche, comme le CNRS ou l'Inserm, qui n'entrent pas dans le classement. Et ces derniers obtiennent des résultats certains. "Ce qui compte, ce sont les résultats obtenus ces derniers mois: l'exploit de la sonde Rosetta à plus de 400 millions de kilomètres de la Terre, la trajectoire réussie de l'ATV-5 vers la station spatiale internationale", avance ainsi Geneviève Fioraso, avant d'asséner : "le classement de Shanghaï n'est pas une fin en soi".
Parce que la Chine met le paquet. Mais la progression de la Chine témoigne tout de même d'une forte "volonté de se développer dans tous les domaines de la connaissance", complète Elsa Conesa. Et de poursuivre : "la Chine avance comme un bulldozer. Elle a mené une politique de salaires extrêmement favorable pour attirer les chercheurs et elle soigne tout le reste, en créant des campus flambants neufs et en nouant des partenariats partout dans le monde", poursuit l'éditorialiste.
Une "politique du bulldozer" que confirme Geneviève Fioraso. "Il y a aussi une volonté de faire revenir les étudiants chinois en Chine, et une politique sur la qualité de la vie pour attirer chercheurs et étudiants. Mais cela reste encore loin des objectifs européens. La Chine a du retard à rattraper", nuance la secrétaire d'Etat. Aujourd'hui, la Chine ne dépense en effet "que" 1,98% de son PIB en recherche et développement, contre 2,26% pour la France. Mais l'Hexagone n'a presque pas augmenté ses dépenses depuis 10 ans. La Chine, elle, les a augmentées de 250%.
La France continue de stagner dans le fameux classement de Shanghai, qui évalue les meilleures universités du monde. Les campus américains se taillent une nouvelle fois la part du lion : Harvard, Stanford et le MIT se partagent le trio de tête. On retrouve également quelques universités britanniques (Cambridge, Oxford) dans le Top 10. La France, elle, arrive sixième, avec 21 universités distinguées parmi les 500 meilleures mondiales, dont 8 parmi les 200. Loin derrière la Chine, deuxième, qui en compte déjà 44, dont 9 parmi les 200. Et pour cause : l'Empire du milieu fait tout pour.
Une "ascension fulgurante". La Chine n'en finit plus de grappiller des places : elle n'avait que 16 universités dans les 500 meilleures en 2004, et seulement une dans les 200 mieux classées. "La Chine est clairement en train de devenir une grande puissance de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle réalise une ascension fulgurante", estime ainsi Elsa Conesa, éditorialiste économique d'Europe 1. Selon Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat à l’Enseignement supérieur, invitée vendredi matin d'Europe 1, la Chine devrait même dépasser les universités américaines d'ici 10 ans. Mais pourquoi progresse-t-elle autant dans ce classement, la où la France patine ?
© REUTERS
Le classement de Shanghai
… Et pas la France. "Ce sont des critères qui concernent les universités de recherche très sélectives. Or, les nôtres ne sont pas sélectives. Du coup, lorsqu’on divise le nombre de médaille Fields ou de prix Nobel par le nombre d’étudiants et d’enseignants-chercheurs, on est fortement désavantagés", a également argumenté Geneviève Fioraso vendredi. "La Chine, c'est 1,5 milliard d'habitants, dont 400 millions de membres de la classe moyenne. Numériquement, ça ne sert à rien de se battre", poursuit la secrétaire d'Etat. En revanche, cela ne veut pas dire que la France est larguée en matière de recherche.
Fioraso : "La France est bien placée dans l...
Le classement de Shanghai classe les universités. Or, le système français de recherche est scindé entre les universités les organismes de recherche, comme le CNRS ou l'Inserm, qui n'entrent pas dans le classement. Et ces derniers obtiennent des résultats certains. "Ce qui compte, ce sont les résultats obtenus ces derniers mois: l'exploit de la sonde Rosetta à plus de 400 millions de kilomètres de la Terre, la trajectoire réussie de l'ATV-5 vers la station spatiale internationale", avance ainsi Geneviève Fioraso, avant d'asséner : "le classement de Shanghaï n'est pas une fin en soi".
Parce que la Chine met le paquet. Mais la progression de la Chine témoigne tout de même d'une forte "volonté de se développer dans tous les domaines de la connaissance", complète Elsa Conesa. Et de poursuivre : "la Chine avance comme un bulldozer. Elle a mené une politique de salaires extrêmement favorable pour attirer les chercheurs et elle soigne tout le reste, en créant des campus flambants neufs et en nouant des partenariats partout dans le monde", poursuit l'éditorialiste.
Une "politique du bulldozer" que confirme Geneviève Fioraso. "Il y a aussi une volonté de faire revenir les étudiants chinois en Chine, et une politique sur la qualité de la vie pour attirer chercheurs et étudiants. Mais cela reste encore loin des objectifs européens. La Chine a du retard à rattraper", nuance la secrétaire d'Etat. Aujourd'hui, la Chine ne dépense en effet "que" 1,98% de son PIB en recherche et développement, contre 2,26% pour la France. Mais l'Hexagone n'a presque pas augmenté ses dépenses depuis 10 ans. La Chine, elle, les a augmentées de 250%.
Lenovo travaille plus le domaine de la téléphonie que des ordinateurs ?
C’est fou ce que le constructeur chinois Lenovo change de tendance actuellement. Et dire qu’il est le numéro un mondial du PC, alors qu’on le voit vendre surtout de téléphones que d’ordinateurs ! Et oui, les chiffres viennent en effet de nous montrer une hausse assez étonnante dans la vente des terminaux mobiles.C’est fou ce que le constructeur chinois Lenovo change de tendance actuellement. Et dire qu’il est le numéro un mondial du PC, alors qu’on le voit vendre surtout de téléphones que d’ordinateurs ! Et oui, les chiffres viennent en effet de nous montrer une hausse assez étonnante dans la vente des terminaux mobiles.
16 millions de smartphones au deuxième trimestre 2014 ?
Dis-donc ? Comme la tendance se poursuit actuellement ! Après Xiaomi qui s’est emparé du marché chinois, c’est au tour de Lenovo d’accomplir un haut fait actuellement. Savez-vous que 15,8 millions de smartphones Lenovo se sont vendus au cours du deuxième trimestre 2014 ? Et oui, d’ailleurs Lenovo prétend même être le premier vendeur de smartphones en Chine (le plus gros marché mondial). D’après son bilan au deuxième trimestre 2014 en fait, le constructeur Lenovo a écoulé près de 16 millions de smartphones. Une performance record, qui fini par déclasser un peu la section PC de la marque. En effet, cette dernière, en tant qu’activité principale de la firme jusqu’à aujourd’hui, comptabilise 14,5 millions d’unités.Lenovo cherche à envahir tous les territoires
Vous l’avez donc compris. . Lenovo joue aujourd’hui sur plusieurs fronts, que ce soit pour les PC ou les smartphones et tablettes. Pour information en fait, dans le monde des ordinateurs, le constructeur propose plusieurs produits, comme des Chromebook, des desktops et bien sur des PC portables. Et rappelons-le, c’est ce dernier surtout qui génère au moins 50 % des bénéfices de Lenovo. Mais même si HP et Dell gardent les premières places à présent aux États-Unis, le constructeur Lenovo est en pôle position sur le marché mondial. Son objectif ? Se faire même une place de choix sur le marché européen. Et oui, savez-vous que Lenovo possède actuellement 12 % du marché en France, après avoir triplé ses ventes en une année seulement ? Et le chemin serait encoire long car il cherche encore à atteindre 20 % bientôt en France et avoir la première place sur le marché mondial.Bref, il faut quand même avouer que concernant certains des chiffres, ils semblent contredire ceux publiés par Canalys il y une semaine. Ce dernier qui avait en effet annoncé que Xiaomi est aujourd’hui considéré comme le premier vendeur de smartphones en Chine. Et dire que les chiffres de Lenovo disent autre chose ! Qui a donc raison ? Affaire à suivre….
Dis-donc ? Comme la tendance se poursuit actuellement ! Après Xiaomi qui s’est emparé du marché chinois, c’est au tour de Lenovo d’accomplir un haut fait actuellement. Savez-vous que 15,8 millions de smartphones Lenovo se sont vendus au cours du deuxième trimestre 2014 ? Et oui, d’ailleurs Lenovo prétend même être le premier vendeur de smartphones en Chine (le plus gros marché mondial). D’après son bilan au deuxième trimestre 2014 en fait, le constructeur Lenovo a écoulé près de 16 millions de smartphones. Une performance record, qui fini par déclasser un peu la section PC de la marque. En effet, cette dernière, en tant qu’activité principale de la firme jusqu’à aujourd’hui, comptabilise 14,5 millions d’unités.
Lenovo cherche à envahir tous les territoires
Vous l’avez donc compris. . Lenovo joue aujourd’hui sur plusieurs fronts, que ce soit pour les PC ou les smartphones et tablettes. Pour information en fait, dans le monde des ordinateurs, le constructeur propose plusieurs produits, comme des Chromebook, des desktops et bien sur des PC portables. Et rappelons-le, c’est ce dernier surtout qui génère au moins 50 % des bénéfices de Lenovo. Mais même si HP et Dell gardent les premières places à présent aux États-Unis, le constructeur Lenovo est en pôle position sur le marché mondial. Son objectif ? Se faire même une place de choix sur le marché européen. Et oui, savez-vous que Lenovo possède actuellement 12 % du marché en France, après avoir triplé ses ventes en une année seulement ? Et le chemin serait encoire long car il cherche encore à atteindre 20 % bientôt en France et avoir la première place sur le marché mondial.Bref, il faut quand même avouer que concernant certains des chiffres, ils semblent contredire ceux publiés par Canalys il y une semaine. Ce dernier qui avait en effet annoncé que Xiaomi est aujourd’hui considéré comme le premier vendeur de smartphones en Chine. Et dire que les chiffres de Lenovo disent autre chose ! Qui a donc raison ? Affaire à suivre….
par info mobile
Pourquoi la France séduit toujours plus de touristes chinois?
Par la croix
Selon une étude de la Direction générale de la compétitivité de
l’industrie et des services (DGCIS) et de la Banque de France, la France
est restée en 2013 le pays le plus visité au monde avec 85 millions de
touristes étrangers.
Le nombre de touristes
chinois a atteint 1,7 million et a augmenté de plus de 23 % en un an.
Leur présence a doublé entre 2009 et 2013.
Le point avec Christian Mantei, directeur général d’Atout France, l’agence de développement touristique de la France.
« L’augmentation du nombre de touristes chinois va sans doute encore s’accentuer avec la croissance économique, la montée des classes moyennes et supérieures et leur désir de voyager. On estime que 100 millions de Chinois devraient faire du tourisme international à l’horizon 2020. Ils représentent un très fort enjeu pour toutes les destinations touristiques mondiales.
La France est le premier pays, en nombre de touristes, qu’ils visitent en Europe, devant l’Italie, la Suisse et l’Allemagne. Il y a encore sept ans, ces voyageurs traversaient quatre à cinq pays lorsqu’ils venaient en Europe. Désormais, ils s’en tiennent plutôt à deux destinations et la France est le choix numéro un.
Cela s’explique par une très grande attractivité de Paris, un attachement à l’histoire française, comme la Révolution ou Napoléon, un goût pour les grands sites naturels ou culturels, ou encore par une attirance de plus en forte pour l’œnotourisme. Dans tous ces domaines, la France a des marques mondiales à proposer, du Mont-Blanc à la Côte d’Azur en passant par Bordeaux ou les châteaux de la Loire…
Un Chinois dépense en moyenne 1500 € par séjour
Attirer les touristes chinois est très important pour ce secteur. Ces visiteurs sont en effet grands adeptes du shopping, très séduits par les grands magasins et les marques de luxe. Un Chinois dépense en moyenne 1500 € par séjour (hors prestations touristiques) alors que la dépense moyenne des voyageurs étrangers est de 200 à 300 €.
La France fait beaucoup d’efforts pour que ce flux de visiteurs grossisse. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, a ainsi demandé que les visas touristiques pour les Chinois soient accordés en 48 heures maximum alors que plusieurs semaines étaient parfois nécessaires jusqu’alors. Atout France, pour sa part, investit énormément en Chine, que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans les médias. Nos campagnes ont été d’ailleurs primées par la presse locale.
Les Français ont aussi leur part de responsabilité. Les Chinois voyagent de plus en plus en individuel et sont donc encore plus sensibles à l’hospitalité, au sourire, à l’aide qu’on peut leur offrir dans la rue… Les hôteliers doivent aussi comprendre qu’une simple bouilloire dans la chambre ou qu’une proposition adaptée au petit déjeuner peuvent être un atout. »
RECUEILLI PAR MICHEL WAINTROP (Infographies : Laurent Dupuis)
Chine: Un restaurant tenu par des robots ouvre ses portes
Dans un petit village de l'est de la Chine, un restaurant futuriste a ouvert ses portes, la semaine dernière. Ou plutôt, deux robots d'accueil s'en sont chargé, pour attirer les clients. À l'intérieur, d'autres se chargent du service, tandis que des androïdes s'affairent aux fourneaux. Outre les clients, les seuls humains de l'établissement sont ceux qui approvisionnent les robots en ingrédients, et aident par moments en cuisine. Le monde à l'envers ! (Photo AFP, Par letelepragremme)
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